--> 8 Mars de chaque année que le calendrier - notre père (ou du moins notre secrétaire) à tous - fait.
Je viens d'entendre à la radio qu'aujourd'hui c'était - c'est - la journée de la femme. Je me souviens soudain les longues engueulades sur la journée
unique de la femme et les 364/365 jours de l'homme qui suivent avec des connaissances plus ou moins intimes et des degrés de chaleur dans le débat plus moins intenses. Du coup, pour vérifier, j'ai demandé à notre grand manitou le wikipédiatre confirmation.
Surprise, ce n'est pas :
- La journée (simple) de la femme (simple).
- La journée de la galanterie.
- La journée "on vous faire sentir que vous êtes belles/adorables/désirables/autre* et tout le tralala au moins une fois dans l'année que vous nous foutiez la paix lorsqu'on bois nos bières le reste du temps".
- La journée du paillasson masculin qui s'efface avec joie/dignité/amour/mauvaise foi/hargne/autre*.
- La journée ou tout est permis. (Celle-là était unique, elle à eu lieu lors du déménagement de ma tante, j'en ai bien profité.)
- La journée ou rien n'est permis. (Celle-ci à lieu trop souvent dans certains pays en voie de dévellopement, voire dans nos contrées civilisées pour les enfants pas sages)
- La journée ou l'on peut embrasser une inconnue dans la rue sans être embarqué par la police. (je savais que j'aurais dû prendre ma carte d'identité avec moi cette fois là)
- La journée ou je ne m'égare pas en écrivant un article que je voulais court et qui finalement... Bref. Pas cette journée là.
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... Mais bien celle, INTERNATIONALE, des
DROITS (inaliénables/universels/fondamentaux/souvent foulés au pied/autre*) de la femme.
Je vais laisser l'information diluer un peu. Internationale. Comme la chanson. Des droits de la femme. Comme ceux des hommes. Mais en plus féminin. Je suppose que la déclaration revêt une perruque sous son bonnet phrygien, et ouvre un peu plus sa toge pour laisser entrevoir un lambeau de chair rose et palpitante.
Une rapide lecture de l'article du wikipédiatre nous apprend que cette journée :
" [...] trouve son origine dans les manifestations de femmes au début du XX° siècle en Europe et aux États-Unis, réclamant l'égalité, de meilleures conditions de travail et le droit de vote. [...] C'est [...] l’occasion de revendiquer l'égalité, de faire un bilan sur la situation
des femmes dans la société."
(Source)---
Mesdames, pour tous ces combats que vous menez - avez mené, mènerez - , pour toutes ces épreuves franchies, pour tout ce que vous faites - avez fait, ferez - , pour toutes ces conjugaisons que vous nous apprenez - appreniez, apprendrez - , pour tous ces moments passés ensembles sur cette petite boule de glaise que l'on nomme foyer, pour tous vos sourires - craquants/parfois faux/polis/embarrassés/désolés/simiesques/larmoyants/fondants (au chocolat)/abrutis par les cachets/carnassiers/effrayants/autre* pour tout ça et bien plus encore;
Salut.
(Normalement, vous devriez voir
Gerard Butler en tenue
d'Eve d'Adam, le regard vrillé sur vos yeux, portant lentement son poing fermé à son coeur, avant de l'en cogner de façon ferme mais résolue afin de faire résonner sa cage thoracique avec toute la force de l'admiration qu'il vous porte, à vous, femmes
de Sparte)
*
Trouvez le (ou les) intrus / Rayez la (ou les) mention(s) inutile(s)
/ Achetez de la glace saveur caramel au beurre breton (car si c'est
breton, c'est bon) salé / Mangez sucré/salé/équilibré/autre* au moins
trois/cinq/sept/quarante-deux/autre* fois par jour.
